L' Afrique des Routes au quai Branly

jusqu’au 12 nov.2017
Berceau de l’humanité, pourvoyeur de force de travail, d’or et de matières premières depuis des millénaires pour les autres continents, l’Afrique a une histoire inscrite dans la dynamique internationale. Panorama d’un continent au carrefour des mondes, à contre-courant des idées reçues.Capture d’écran 2017-05-23 à 17.50.07Longtemps ignorés, les échanges panafricains et extra-africains ont pourtant débuté voici des millénaires, bien avant les indépendances, la colonisation et l’arrivée des premiers navires portugais au milieu du XV ème siècle. En témoignent les sculptures, pièces d’orfèvrerie ou d’ivoire, peintures et autres objets présentés dans l’exposition L’Afrique des routes.

Du cinquième millénaire avant notre ère à nos jours, celle-ci évoque ainsi les routes, fluviales, terrestres ou maritimes qui ont contribué à la circulation et aux contacts des hommes, des matériaux et des œuvres
 
mardi, mercredi, dimanche :   11h00-19h00
jeudi, vendredi, samedi :   11h00-21h00
 
36, quai branly Paris 75007
L’Afrique des routes
Musée du quai Branly
 
 
 
 
AFRIQUES CAPITALES
Afriques Capitales rassemblera plus de dix productions spécialement réalisées pour l’exposition, dont plusieurs oeuvres monumentales, et une soixantaine d’artistes, toutes générations confondues : Pascale Marthine Tayou, William Kentridge, Akinbode Akinbiyi, James Webb, Leïla Alaoui, Mimi Cherono Ng’ok, Lavar Munroe, Hassan Hajjaj, Abdoulaye Konate, Heba Amin, Nabil Boutros… De nombreux artistes seront exposés pour la première fois en France.
L’expérience d’Afriques Capitales se prolongera à l’extérieur, dans le cadre du Mois de la Photo du Grand Paris, avec une trentaine d’oeuvres en accès libre dans les jardins du parc. Et du 6 avril au 3 septembre 2017, le deuxième chapitre d’Afriques Capitales s’écrira à Lille, à la Gare Saint-Sauveur, avec l’exposition Vers le Cap de Bonne Espérance.
Plus qu’un simple panorama de la création africaine, le propos de ces deux expositions « est de travailler à partir des oeuvres et des artistes dont le travail parlera par lui-même pour dire l’histoire qui est la leur et qui, de fait, nous concerne tous. » Simon Njami
Grand halle de la villette
Porte de pantin
 
 
jusqu’au 28 août 2017, la Fondation Louis Vuitton présente Art/Afrique, le nouvel atelier.
À côté d’expositions monographiques, la Fondation présente des expositions collectives de scènes moins connues dans leurs développements les plus actuels : après « Bentu, des artistes chinois dans la turbulence des mutations » (janvier/mai 2016), « Art/ Afriquele nouvel atelier » réunira deux expositions, pensées comme des focus, adossées à un choix d’œuvres de la Collection de la Fondation :

  1. I) « Les Initiés », un choix d’œuvres (1989-2009) de la collection d’art contemporain africain de Jean Pigozzi
     Galeries 1-2 (rez-de-bassin)
  2. II) « Être là », Afrique du Sud, une scène contemporaine
     Galeries 4 (niveau 0), 5-6-7 (niveau 1)

III) Collection de la Fondation Louis Vuitton : une sélection d’œuvres africaines 
   Galeries 8-9-10-11 (niveau 2)
8 avenue du Mahatma Gandhi
Bois de Boulogne Paris 75116
http://www.fondationlouisvuitton.fr
 
 
 

 

 

 

 

Chefs-d’oeuvre d’Afrique

Dans les collections du musée Dapper

 
 
, l’exposition est prolongée jusqu’au 18 juin 2017
Chefs-d’oeuvre d’Afrique
Des oeuvres figurant parmi les plus importantes au monde réunies pour la première fois. 
Remarquables par leur esthétique, elles témoignent des grandes cultures de l’Afrique.
 
 
équivalent dans le monde, telles des sculptures du Gabon (Fang, Kota, Punu…), du Cameroun (Bangwa), du Bénin
Chefs-d’oeuvre d’Afrique permettra aux visiteurs de découvrir des pièces maîtresses qui puisent leurs significations dans les cultures de l’Afrique centrale ou dans celles de l’Afrique de l’Ouest.
Les oeuvres racontent la vie
Les pièces exposées ont été sélectionnées en raison de leurs qualités plastiques, mais aussi pour les rôles qu’elles assurent dans les sociétés qui les ont vues naître. En effet, masques, statues, statuettes, autels, parures, armes et bien d’autres artefacts sont liés à des pratiques et des savoirs spécifiques. Leurs fonctions sont multiples. Certains objets étaient utilisés dans le cadre des initiations, celles des adolescents ou celles des hommes mûrs devant développer leurs connaissances ésotériques et / ou techniques. D’autres – parfois les mêmes – intervenaient lors de cultes destinés à rendre hommage aux ancêtres, à assurer la fécondité des femmes, la fertilité des terres ou à soigner.
Pour visionner la conférence de Jean-Pierre Warnier, coauteur de l’ouvrage de l’exposition, sur les Bangwa du Cameroun, cliquer ici.
 
 

Les Mutants, de Soly Cissé

Les Mutants de Soly Cissé
L’exposition Chefs-d’oeuvre d’Afrique est précédée de l’exposition « Les Mutants, de Soly Cissé » qui présente une vingtaine d’oeuvres de l’artiste sénégalais.
Le musée Dapper est un musée parisien privé créé en 1986 qui se définit comme un « espace d’arts et de cultures pour l’Afrique, les Caraïbes et leurs diasporas ». Son nom rend hommage à un humaniste néerlandais du XVIIᵉ siècle, Olfert Dapper. Wikipédia
Adresse : 35 bis Rue Paul Valéry, 75116 Paris
 
 
 
 
 
 
 
 

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